Arundel. Rien que le nom a un petit quelque chose de mystérieux, non ?
Une sonorité qui sent bon le Moyen Âge, les légendes et les histoires de chevaliers.
Et pourtant, cette petite ville du Sussex, à moins de deux heures de Londres, n’a rien d’un simple décor de carte postale.
Elle est vivante, authentique, un brin hors du temps.
Premières impressions de Arundel
Deux châteaux médiévaux me fascinaient dans le sud de l'Angleterre.
Il y avait celui de Bodiam à la limite du Sussex et du Kent.
Un château romantique entouré de douves comme au temps des preux chevaliers.

Le château de Bodiam © French Moments
Et puis, il y avait Arundel.

Arundel : un des plus grands châteaux anglais © French Moments
Lorsque nous avons déménagé dans la région de Portsmouth-Chichester, Arundel était devenu proche de chez nous.
Nous apercevions le château le long de la route entre Chichester et Brighton, puis par le train en direction de l'aéroport de Gatwick.
Mais, pendant longtemps, nous n'avions jamais eu l'opportunité de nous arrêter.
Lors d'une belle journée d'été, nous avons enfin pris le temps de découvrir Arundel.
Et nous avons été enchantés !
En remontant vers le centre, les premières bâtisses apparaissent, et là… Wow.
C’est comme si nous étions tombés dans un film d’époque.
Des maisons en pierre ou à pans de bois, des petites boutiques avec des enseignes d’un autre temps.
Mais le plus impressionnant, c’est le château.
Il domine tout.
Impossible de l’ignorer, il est là, imposant, presque intimidant.
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D'où vient le nom d'Arundel ?
Le nom Arundel vient du vieil anglais Hārhūnedell, qui signifie “vallée du marrube blanc” (horehound en anglais).
Ce nom est attesté pour la première fois dans le célèbre Domesday Book, le grand inventaire foncier commandé par Guillaume le Conquérant en 1086.
Mais ce qui est amusant, c’est que la tradition populaire a préféré une autre explication.
Selon une étymologie folklorique, le nom d’Arundel viendrait du vieux français arondelle, qui signifie “hirondelle”.
Et coïncidence ou pas, les armes de la ville représentent justement… des hirondelles !
Une belle illustration de la façon dont une langue et une culture peuvent influencer les récits locaux.

La vue du château d'Arundel
Mais revenons à l’explication botanique.
Horehound, le marrube blanc (Marrubium vulgare), est une plante médicinale réputée depuis l’Antiquité, souvent utilisée pour ses vertus contre la toux et les maux de gorge.
Le mot “hore” vient du vieil anglais hār, qui signifie gris, blanchâtre, en référence à la couleur légèrement duveteuse de ses feuilles.
Le mot “hound” ici ne désigne pas un chien (hound en anglais moderne) mais viendrait plutôt de hūne, un vieux terme pour certaines plantes.
Ainsi, Arundel aurait d’abord été associée à une vallée couverte de marrube blanc, avant que l’histoire et la phonétique ne transforment cette origine en une charmante légende d’hirondelles.
Une anecdote qui illustre parfaitement comment la mémoire collective et la nature s’entrelacent dans le passé des villes anglaises.
La visite-découverte de Arundel
Dans cet article, je vais vous emmener avec nous découvrir les plus beaux endroits d'Arundel.
Commençons par l'attraction la plus populaire (et de loin !) d'Arundel : son château.
Le château d'Arundel
- Le château est fermé en hiver. La saison 2025 se déroulera du mardi 1er avril au dimanche 2 novembre.
- L'entrée du château est payante. Pour en savoir plus sur le château d'Arundel, visitez le site officiel.

Le château d'Arundel
L'histoire du château d'Arundel
L'histoire du château remonte à près d’un millénaire, et autant dire que ses murs en ont vu passer, des batailles et des intrigues !
Tout commence vers 1067, quand Roger de Montgomery, cousin de Guillaume le Conquérant, commence à construire le château après avoir reçu un vaste domaine en récompense de sa loyauté.
À l’origine, c’était une motte castrale, une de ces forteresses rudimentaires en bois perchées sur une butte artificielle.

Le donjon-motte du château d'Arundel
Mais très vite, il devient évident que l’endroit mérite bien mieux.
Puis vient le temps des sièges.
En 1101, Robert de Bellême, alors propriétaire du château, se rebelle contre Henri Ier.
Mauvaise idée : le roi envoie ses troupes, assiège Arundel et, en 1102, le château tombe.
Plus tard, il passe entre les mains d’Adélaïde de Louvain, veuve d’Henri Ier, et de son second époux, William d'Aubigny.
On raconte qu’en 1139, l'impératrice Mathilde y aurait trouvé refuge en pleine guerre de succession. Rien que ça !

The Baron's Hall
Au fil des siècles, le château change de mains, mais toujours dans les hautes sphères de l’aristocratie.
En 1243, il revient à John Fitzalan, qui devient comte d’Arundel de plein droit grâce à une reconnaissance tardive d’Henri VI.
Mais c’est surtout Thomas Howard, 4ᵉ duc de Norfolk, qui en hérite en 1555, après son mariage avec Mary FitzAlan, fille du dernier FitzAlan.
La lignée des Howard prend alors le relais… et ne le lâchera plus.

Arundel : un des plus grands châteaux anglais
Fast forward à 1643.
En pleine guerre civile anglaise, le château devient un enjeu stratégique.
Les 800 royalistes qui s’y retranchent résistent 18 jours, mais finissent par se rendre.
En 1653, le Parlement ordonne de démolir partiellement le château pour éviter qu’il ne serve à nouveau de forteresse.
Enfin… en théorie. Parce qu’en réalité, la météo a sans doute fait plus de dégâts que les hommes.

Malgré tout, les Howard conservent le château, même s’il n’est pas leur résidence préférée. Ils préfèrent investir ailleurs, notamment à Norfolk House, à Londres.
Ce n’est qu’en 1787 que Charles Howard, 11ᵉ duc de Norfolk, décide de redonner vie au château, lançant de grands travaux de restauration.
C’est aussi à cette époque que voit le jour cette étrange fabrique de jardin qui se tient toujours sur Swanbourne Lake, une commande du duc à l’architecte Francis Hiorne.
Et puis, en 1846, arrive la reine Victoria et le prince Albert. Un événement de taille ! Henry Howard, 13ᵉ duc de Norfolk, veut faire bonne impression et remanie entièrement l’intérieur du château pour les accueillir.
Il fait aménager une suite de six pièces dans l’aile sud-est, et confie la décoration à Morant, une prestigieuse maison londonienne.
Après cette visite royale, le 15ᵉ duc se dit qu’un petit rafraîchissement supplémentaire ne ferait pas de mal.

Le château d'Arundel avant les travaux du 19e siècle
Résultat : entre 1875 et 1905, le château est restructuré en profondeur, sous la direction de Charles Alban Buckler et avec l’aide des artisans de Rattee et Kett de Cambridge.
Le 16ᵉ duc envisage même de léguer le château au National Trust, mais à sa mort en 1975, le 17ᵉ duc annule le projet.
À la place, il crée une fondation caritative pour assurer l’avenir du château, et entreprend d’importants travaux de restauration.
Aujourd’hui, il reste la résidence du duc de Norfolk, une lignée aristocratique qui y réside depuis plus de 400 ans.

A l'entrée du château
L'architecture du château d'Arundel
L’architecture du château est un mélange impressionnant de styles médiéval et victorien.
En franchissant ses portes, on a l’impression de pénétrer dans une autre époque : hauts plafonds voûtés, salles de banquet ornées de tapisseries, et une collection d’objets anciens qui racontent les siècles passés.

The Baron's Hall

The Small Drawing Room

The Dining Room

La Bibliothèque

La Bibliothèque

Couloir de la Bibliothèque
La grande galerie (Picture Gallery) est particulièrement impressionnante, avec ses portraits d’ancêtres sévères et ses lustres imposants.

La Grande Galerie © French Moments

La Grande Galerie

La Grande Galerie
Il y a aussi la chapelle, magnifique exemple du gothique perpendiculaire, où flotte une atmosphère à la fois solennelle et intime.

La chapelle du château
Le domaine du château d'Arundel
Le domaine du château d’Arundel comprend plusieurs espaces :
Le château proprement dit et le donjon (Keep)

La cour du château d'Arundel
Les étangs de Stew Ponds et le jardin aquatique (Water Gardens)

Stew Ponds
Les pelouses inférieures (Lower Lawns)

Les pelouses inférieures
La roseraie (Rose Garden)

Roses de septembre à la roseraie du château
Le terrain américain (American Ground)
La chapelle de Fitzalan et le jardin blanc (Fitzalan Chapel et White Garden)

La voûte en bois de la chapelle de Fitzalan
Le jardin clos du comte collectionneur (The Collector Earl’s Garden and Walled Gardens)

Dans le jardin clos du comte collectionneur
Le jardin clos du comte collectionneur
Attardons-nous sur l’un des espaces les plus enchanteurs du château : le jardin clos.
Comme son nom l’indique, ce jardin est protégé par un mur, et pour l’atteindre, il faut marcher environ 350 mètres depuis le château, en dépassant la chapelle.
Ce périple ajoute à son charme, donnant l’impression d’accéder à un petit monde caché, loin de l’agitation.
Le jardin du comte collectionneur a été inauguré en 2008.

Dans le jardin
À l’origine, cette zone faisait partie du jardin potager, mais elle avait été convertie en parking dans les années 1970, avant de retrouver sa splendeur grâce à un ambitieux projet de réaménagement.
Aujourd’hui, ce lieu sublime associe jardins à la française, parterres fleuris minutieusement entretenus et même un jardin tropical inattendu.
L’endroit est conçu comme un hommage à Thomas Howard, 14ᵉ comte d’Arundel (1585-1646), surnommé “The Collector”, grand amateur d’art et de curiosités.
Les paysagistes Isabel et Julian Bannerman, accompagnés de l’architecte Russell Taylor, ont imaginé un décor inspiré du jardin d’Arundel House, la résidence londonienne du comte, surplombant la Tamise.
La véritable pièce maîtresse du jardin, c’est le spectaculaire Palais d’Oberon, une réplique en chêne vert d’un décor conçu par Inigo Jones.
À son sommet, nous avons découvert une couronne dorée semblant flotter au-dessus d’un jet d’eau. Cette merveilleuse illusion qui capte la lumière nous a intrigués à juste titre.

La couronne flottante
Autour, nous avons découvert des fabriques de jardin tout aussi fascinantes, notamment le Temple du bois de cerf (Antler Temple), ainsi que de superbes pagodes en chêne vert.

Antler Temple
De jolies fontaines et ruisseaux évoquent la rivière Arun, tandis qu’une petite grotte d’eau sous le Palais d’Oberon ajoute à l’atmosphère féerique.

Représentation symbolique de la rivière Arun
Le jardin est organisé en cours formelles, avec un bassin central en canal, une cascade bordée de tuf et même un labyrinthe de fleurs sauvages.
Côté végétation, le jardin joue sur l’exotisme et l’élégance.
On y trouve des bordures herbacées et tropicales, un jardin potager, ainsi qu’un jardin de fleurs sauvages.

Végétation luxuriante
Magnolias odorants, catalpas, arbustes et plantes semi-tropicales profitent des murs de pierre qui captent la chaleur et créent un microclimat privilégié.

Dans les jardins fleuris en septembre
Lors de notre visite, nous avons aussi admiré une serre victorienne et une verrière tropicale, véritables petits joyaux cachés du domaine.

La serre victorienne

A l'intérieur de la verrière
Un petit salon de thé niché dans le jardin permet de faire une pause et de savourer l’instant, le temps d’un rafraîchissement.

C'est le temps pour une glace !
C’est beau, soigné, et paisible, un havre de tranquillité où le silence, ponctué par le murmure des fontaines, rappelle le charme des vieux jardins anglais.
En somme, une parenthèse enchantée, où nature et architecture s’unissent pour offrir un spectacle inoubliable.




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L'église Saint-Nicolas d'Arundel
Construite en silex et en pierre au XIVᵉ siècle, l’église Saint-Nicolas se distingue par une particularité rare en Angleterre : elle est divisée en deux parties distinctes, séparées par une grille.

La nef de l'église
Le chœur de l’église, connu sous le nom de Fitzalan Chapel, est accessible uniquement depuis le domaine du château (entrée payante), tandis que la nef reste ouverte au public par London Road.

Vitrail de l'église
À l’origine, le chœur accueillait un petit collège de chanoines, fondé en 1380 par Richard Fitzalan, 4ᵉ comte d’Arundel.
Mais en 1544, peu avant l’abolition des chantries ordonnée par Henri VIII, la chapelle fut confisquée et vendue au 12ᵉ comte d’Arundel, Henry Fitzalan.
Depuis, elle est restée la propriété privée de la famille ducale et sert aujourd’hui de lieu de sépulture aux ducs de Norfolk.

Tombeaux des ducs de Norfolk
En 1879, il fut officiellement décrété que la Fitzalan Chapel ne faisait plus partie de l’église paroissiale anglicane adjacente.
Elle devint alors un lieu de culte indépendant, consacré au catholicisme à perpétuité.
L’un des éléments les plus surprenants du site est la cloison en fer qui sépare la chapelle de l’église paroissiale.

La cloison qui sépare l'église anglicane de la Chapelle Fitzalan
Cette disposition est une véritable anomalie dans les églises anglaises, témoignant de l’histoire complexe du christianisme en Angleterre et du respect mutuel entre les confessions catholique et anglicane.
La cathédrale d'Arundel
En l'observant de l'extérieur, cette cathédrale inachevée dégage une indéniable influence française.

La cathédrale d'Arundel
Son architecte, Joseph Aloysius Hansom (1803-1882), s'est inspiré du gothique rayonnant propre à l'Île-de-France, un style architectural qui marqua l'apogée des cathédrales françaises entre 1300 et 1400.

C'est cet angle qui trahit l'influence française de la cathédrale !
Ironie de l’histoire, cette période correspond également à l'ascension des Howard, qui acquirent une renommée nationale en Angleterre.
Classée monument historique, la cathédrale d'Arundel est considérée comme l’un des plus beaux exemples d’architecture néo-gothique d’inspiration française en Grande-Bretagne.

La façade occidentale de la cathédrale
Une cathédrale mandatée par le duc de Norfolk
Joseph Hansom était à l’apogée de sa carrière lorsqu’il fut mandaté par Henry XV, duc de Norfolk (1847-1917), Earl Marshal d’Angleterre, dont la demeure ancestrale était le château d’Arundel.
Spécialiste de la construction d’églises, il réalisa également la mairie de Birmingham et reste surtout célèbre pour son invention du Hansom Cab, un fiacre à la conception révolutionnaire.
Le duc Henry, malgré sa petite taille et son apparence souvent négligée, fut une figure marquante de la société victorienne, jouant un rôle majeur dans l’aménagement d’Arundel tel que nous le voyons aujourd’hui.
Pour marquer sa majorité, il décida de faire bâtir une église dans la ville et fit l'acquisition d'un terrain en 1868.

Contre-plongée sur la façade de la cathédrale
Une cathédrale inachevée
La construction, étonnamment rapide pour un édifice de cette ampleur, fut achevée en seulement trois ans, et l’église fut inaugurée le 1er juillet 1873, dédiée à Saint Philippe Néri.
Toutefois, la cathédrale ne fut jamais achevée.
La construction de la cathédrale d’Arundel ne s’est pas exactement déroulée sans accroc…
Dès le départ, il y a eu un gros souci : les fondations.
Creusées à plus de 17 mètres de profondeur, elles auraient dû être solides, mais pas assez, semble-t-il, pour supporter la tour de 85 mètres et sa flèche imaginées par Hansom.
Résultat ? Projet abandonné.

La cathédrale vue des jardins. On observe la tour inachevée
La cathédrale ne reçut ainsi ni façade harmonique ni tours, ce qui l’aurait rapprochée de l’esthétique des grandes cathédrales franciliennes.
Comme si ce n’était pas déjà compliqué, voilà qu’une grève des tailleurs de pierre vient semer la pagaille sur le chantier (je vous l’avais dit que c’était un projet français !).
Et pour couronner le tout, des travaux supplémentaires sont décidés en cours de route, faisant exploser le budget initial.
Bref, un vrai casse-tête de chantier !
Aujourd’hui, elle est la cathédrale du diocèse d'Arundel et Brighton, établi en 1965, qui regroupe les comtés du Surrey et du Sussex.
Il s’agit donc bien d’une véritable cathédrale au sens que nous lui donnons en France, pays à majorité catholique.
L'intérieur de la cathédrale d'Arundel
À l’intérieur, vous ne trouverez pas d’éléments médiévaux, puisque l’édifice date du XIXe siècle.
En revanche, ses hautes voûtes élancées et ses somptueux vitraux victoriens lui confèrent une majesté incontestable, à admirer en prenant le temps de lever les yeux vers ses détails architecturaux.



Le grand orgue

Une des rosaces
La vieille-ville d'Arundel
Si vous aimez flâner, perdre du temps à regarder les vitrines, Arundel est faite pour vous.
Le centre-ville est minuscule, mais bourré de charme.
J'ai beaucoup aimé l'ambiance "Vieille Angleterre" sur Market Square, le cœur historique de la ville.

C'est ici qu'a lieu le marché des produits fermiers le troisième samedi de chaque mois.
Dans le petit centre d'Arundel, on ne trouve aucun grands magasins, juste des petites boutiques pleines de caractère.

Antiquaires, galeries d’art, librairies un peu poussiéreuses où l’on pourrait passer des heures…

Et puis il y a ces maisons anciennes, avec leurs façades biscornues et leurs vieilles enseignes.




Hight Street © French Moments
Alors, Arundel, ça vaut le détour ?
Oh que oui. Ce n’est pas juste un joli village avec un château.
C’est un condensé d’histoire, d’atmosphère et de petits détails qui font toute la différence.
Et puis, ce que j’ai adoré, c’est cette impression de lenteur, comme si le temps s’était arrêté.
Si vous passez dans le Sussex, faites-moi confiance : arrêtez-vous à Arundel.
Prenez un thé, flânez sans but, laissez-vous surprendre.
Vous ne le regretterez pas !

Venir à Arundel
La petite ville et son château se situent le long de la route A27 entre Chichester et Brighton.
- 170 km de Folkestone (Terminal Eurotunnel) - environ 2h10 de route
- 45 km de Portsmouth (Terminal Ferry) - environ 45 de route
- 55 km de Newhaven (Terminal Ferry) - environ 1h de route
- 35 km de Brighton (35 min)
- 17 km de Chichester (20 min)
- 140 km du centre de Londres (2h40)
Poursuivre la visite : à voir aux alentours
Le mieux est de séjourner autour d'Arundel pendant une semaine. Vous pourrez alors prendre le temps d'explorer les alentours en douceur !
Voici une liste de sites à découvrir dans la région :
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Le château d'Arundel

Une des entrées du château

La vue du château sur l'église Saint-Nicolas et la cathédrale

La Manche vue du château

La ville d'Arundel

La ville d'Arundel et la cathédrale

La vallée de l'Arun vue du château